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Articles de pêche de la carpe associés au tag rivière

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Pêche aux pellets

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Article de TomSuncarpe26 publié le 21 Décembre 2012 à 17:00 dans le blog Session 2009 à 2013
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Je vous présente ce nouvel article sur l’utilisation du pellet, afin de séduire nos dames carpes.

Cet appât est utilisé depuis plusieurs années, par un grand nombre de pêcheur à la carpe ou autres spécialités (au coup, pour le silure etc …).

 Je vais faire de mon mieux pour vous présenter mes différentes techniques d’utilisations en plan d’eau et en rivière.

J’ai aujourd’hui cinq à six ans d’expérience dans ce domaine, qui m’a apporté un gros succès depuis que cet appât fait partie de mes bagages, sur une grande majorité de mes sessions de pêche.

 Cette pêche nécessite une grande technique et une bonne connaissance de la dissolution de ces appâts.

 

En plan d’eau :

 

Avant de démarrer une pêche au pellet sur un plan d’eau, il faut impérativement s’assurer que l’on ne trouve pas la présence des poissons chats. Sinon, cet appât est à bannir de votre session, ces bêtes en sont friandes et vous pêcherez vite à la goutte d’eau.

Si aucune présence de cette vermine n’est à déclarer, alors l’arme ultime peut être dégainée.

 J’utilise principalement trois diamètres de pellet : en 7, 15 et 25mm. J’arrive à affronter toutes les circonstances avec ce panel.

 Pellets de 7, 15mm extrudés et 25mm de pêchePellets de 15,25mm extrudés et 25mm de pêche

 

Pêche de bordure :

 

La meilleure exploitation du pellet se fait sur une ligne tendue en bordure, atteignable à la pelle amorçoir ou à la fronde.

J’esche généralement sur le cheveu de cette ligne, un ou deux pellets de bonnes qualités (SCP) en 15mm. La dissolution est fonction de la température de l’eau, plus elle est haute, plus le pellet fond vite (environ 2h en été et 5h en hiver). Pour exploiter au mieux cette dissolution, il faut faire le test sur les premières heures de pêche, afin de déterminer le meilleur temps imparti pour tenir le pellet sur le cheveu.

C’est pour cela que la pêche de bordure est la plus appropriée, car il faut relancer régulièrement la ligne.

En règne général, cela ne pose pas trop de problèmes la journée, mais la nuit c’est une autre paire de manches.

Il y a deux configurations possibles :

-         Soit vous êtes en mode concours ou rendement maximum, donc remonté comme une pendule avec le réveil qui sonne toute la nuit, afin de repositionner la ligne et réamorcer

 

 

Eschage au pellet de 15mm

 

-         Soit en mode pépère entre potes pour dormir la nuit. Dans cette option, j’esche un pellet de 25mm pour garder la ligne en action de pêche toute la nuit, avec le moindre effort.

 

 

Eschage au pellet de 25mm de pêche

 

 

En ce qui concerne l’amorçage autour de cette ligne en bordure, je peux comparer cette technique avec la méthode de pêche au coup. Il faut impérativement garder de l’action sur le fond.

L’amorçage lourd ne sert pas à grand-chose, sachant qu’il n’y aura plus rien au bout de quelques heures. La méthode consiste à amorcer avec du pellet de 7 et 15mm toutes les 2h. Quelques poignés suffisent à rendre le fond de l’eau très attractif en continu.

Le fait de varier le diamètre en 7 et 15mm permet d’obtenir deux dissolutions différentes. Cela génère une continuité olfactive sous la surface de l’eau autour de l’appât piégé.

 Si vous voulez être tranquille la nuit, il faut rajouter du 25mm à l’amorçage.

C’est pour cette raison que je me permets de comparer cette technique à celle utilisé au coup, car la poignée de petit pellet remplace la petite boule de farine.

 

Cela nécessite d’être toujours en action et attentif au temps qui passe. Le réveil est de rigueur !

 

A portée de canne :

 

En ce qui concerne l’eschage du cheveu, je procède de la même manière que la pêche en bordure.

Ce qui diffère est l’amorçage à longue distance, surtout quand on est à fond de canne à plus de 100m, voir 130m et plus.

Le premier moyen d’expulser des petits appâts à longue distance est l’utilisation du bait-rocket ou du Spomb.

Vous pouvez donc faire des petits rappels toutes les 2h, comme avec la pelle ou la fronde en bordure.

 

Remplissage du Spomb Lancer du Spomb

Le second moyen est d’utiliser une canne à bait-rocket muni d’un godet, pour envoyer des boules de pellet sur orbite. Avant de confectionner les boules, il faut préalablement faire fondre du pellet de 4 ou 7mm dans un seau d’eau. Au bout d’environ 30 minutes, cette mixture devient collante, permettant de lier les pellets ensemble. Pour gagner de la solidité avant l’expulsion des boules, il faut les faire sécher au soleil pendant un petit quart d’heure.

 Après cette préparation, vous pouvez procéder à l’opération d’amorçage.

 Dans la première solution, c’est le fait de devoir ramener le bait-rocket ou le Spomb qui est contraignant, mais dans la seconde, cela demande du temps de préparation.

A vous de choisir en fonction de vos moyens !

 

 Hors portée de canne :

 Pour cette option, je vous souhaite bon courage. C’est avec la barque qui faut retendre la ligne régulièrement et de plus, faire des rappels d’amorçage.

Quand j’exploite cette méthode, j’esche ma ligne au pellet de 25mm et amorce aux 15 et 25mm. Cela me permet de gagner du temps entre le réamorçage et la retente des lignes.

En général, je rajoute une petite cerise sur le gâteau au bout de la ligne. J’accroche une chaussette soluble garnie de pellet en 7mm, pour gagner de la réactivité autour de l’appât.

 Dépose en barqueChaussette soluble de pellets en 7mm

Depuis peu, j’ai trouvé une petite ruse pour l’été.

Avec la température de l’eau très élevée, le pellet fond plus rapidement. Avant de retendre les lignes pour la nuit, je recouvre mon pellet de 25mm avec de la pâte d’enrobage. Cela retarde considérablement la dissolution complète du pellet, sans empêcher une grande diffusion.

 

 En rivière :

 Je ne vais pas vous apprendre grand-chose de plus que la pêche en plan d’eau.

Le seul point important qui faut prendre en compte, est le courant.

 En règle générale, je n’utilise pas le pellet en 7mm, qui est beaucoup trop léger. Le courant l’emporterait beaucoup trop loin du spot de pêche attendu.

 Il faut utiliser le courant à bon escient, il n’a pas que des inconvénients.

Je profite de cette force de la nature pour amorcer au pellet de 15 et 25mm, toujours en amont du coup de pêche.

Le pellet va se déposer sur les premiers montages, que j’esche très souvent au pellet de 25mm. Les lignes positionnées sur le bas de l’amorçage vont bénéficier des particules de pellet en cours de dissolution, transportées dans le courant.

Je profite de cette zone de pêche pour l’exploiter à la bouillette. Les plus gros poissons tournent régulièrement autour de l’amorçage au pellet.

 

Commune piégée par un pellet de 25mm Miroir piquée sur un lit de pellets

 

En rivière, j’ai tendance à beaucoup plus amorcer qu’en plan d’eau. Je prends en compte le courant qui émiette plus rapidement les pellets et les poissons blancs (brème, chevesne, barbeaux …) qui sont friands de ces appâts.

Sans oublier notre ennemi principal, le gros moustachu qui se prénomme « silure ».

Il est toujours très compliqué de gérer la bonne dose d’amorçage sans attirer les silures. Une fois qu’ils sont présents sur le coup au pellet, il est difficile de les déloger.

En général, je stoppe l’amorçage quelques heures, pour le reprendre bien plus tard.

 

Autres usages :

 Le pellet peut être utilisé pour de multiples applications.

Je m’en sers très souvent pour garnir mes chaussettes solubles quand je pêche à la bouillette. C’est un très bon complément attractif autour de l’appât.

 J’ai déjà eu l’occasion de le réduire en poudre pour composer mon mix à bouillette. L’apport en protéines est phénoménal, surtout à l’approche de l’hiver.

 

En ce qui concerne la qualité des pellets, j’ai deux catégories.

Le pellet d’amorçage à bas prix, l’extrudé que l’on trouve chez beaucoup de marchands de pêche, provenant très souvent de chez le fabricant breton « Le Gouessant ».

Puis le pellet de pêche, que je trouve chez SCP (Saone Carp Production), confectionné par Patrick SALIERNO. Les pellets ont une forte tenue au cheveu et une diffusion impressionnante. (http://www.saonecarproduction.com/)

 Je ne vais pas plus m’épiloguer sur ce sujet, à chacun de trouver sa méthode gagnante.

J’espère avoir donné des idées à quelques carpistes, à la suite de cette lecture.

 

Bonne pêche à tous !

 

 

 

Thème: Stratégie et tactique de pêche | Département: Drôme (26) Lien permanent | Voir les 3 commentaires
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Qualifs Rhône-Alpes 2011, MANCHE rivière -La Saône

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Article de couzchain publié le 28 Juin 2011 à 05:05 dans le blog PASSION CARPISTE
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Les quinze jours qui ont suivi la manche lac furent longs, nous avions hâte de voir ce que le Saône allait nous offrir. Pour ne pas trop être pris au dépourvu le jour J, Lucien et moi avions prévu un petit 24h00 pour nous mettre en condition. Les nouvelles ne sont pas bonnes car entre les conditions météo et une nouvelle frai qui s'annonce les carpes ne sont pas du tout actives. De plus le secteur de nuit est pris d'assaut chaque week-end, les poissons ayant déserté les lieux pour trouver plus de confort et de sécurité sur la berge d'en face, difficile que d'y poser un montage car c'est 200 mètres qui nous séparent. Les qualifications rivière s'annoncent dures et indécises.

                               

Toutes les équipes sont là en ce jeudi 26 mai, nous sommes tirés avant dernier. Les postes censés être plus facile sont déjà loin mais nous avons encore le choix entre un poste hors secteur et un poste sur le secteur de nuit. Tous nos concurrents directs ont choisi le hors secteur car moins pêché et plus sauvage. Nous faisons le contraire et préférons choisir le secteur le plus difficile, nous savons qu'ici un ou deux poissons sont suffisants pour passer et valider notre ticket pour les Championnats de France. Ces 72h00 ne vont pas être des plus tranquilles mais au moins nous allons tout mettre en œuvre pour qu'elles le deviennent.

             

Comme à notre habitude, je m'occupe de la première partie de la rivière et Guillaume s'occupe de l'autre moitié. La pêche à longue distance prendra sur ce poste toute sa plénitude, les carpes ayant tendance à se nourrir très loin de notre berge persécutée par tous types de carpistes.

                              

Nous amorcerons avec parcimonie car les poissons ne sont pas dans un état de se goinfrer mais plutôt à glaner çà et là quelques victuailles.

La topographie du poste, et celle du secteur de nuit en particulier, est loin d'être belle. On est plus dans la monotonie que dans un super lieu à pêcher. Devant nous s'étale une pente douce qui se fini au chenal, vient ensuite une première petite cassure et la deuxième de la berge d'en face. Je dois vous dire que ces deux cassures sont difficilement cernable à la canne car à des distances telles que le marqueur remonte mal. Et encore heureusement que le débit de la Saône est sur off en ce moment.

Les premières heures passent et déjà ma canne de bordure montre les premiers signes de vie. Les brèmes et quelques carassins s'en donnent à cœur joie et viennent cassés la quiétude du reste. L'activité de surface est nulle et seules les nombreuses barges de graviers et sable nous apportent deux ou trois bips régulièrement. Nous savions la Saône difficile depuis samedi mais pas à un tel point. Nous nous employons à faire pêcher les cannes avec différents appâts pour donner aux carpes un large choix.

                            

Il va falloir rester confiant jusqu'au bout. Guillaume s'applique à poser ses montages le plus loin possible de nous car deux ou trois sauts de carpes claquent à quelques mètres de la bordure opposée. Les cannes de 3,75 lbs et la tresse de 14/100 jouent parfaitement leurs rôles et la berge d'en face se rapproche, mais on est encore à 40/50 mètres environ. Les 200 mètres de largeur de Saône sont de plus en plus loin au fil des jours, surtout lorsque l'on voit sauter des carpes.

Nous réussissons finalement à toucher deux poissons le vendredi, un le matin et l'autre en milieu d'après midi, en même temps que des péniches qui passaient. Certainement que le déplacement d'eau a fait bouger le montage de peu et a ainsi déclenché un réflexe alimentaire de la part des carpes. Ils nous suffisent au classement final pour obtenir la première place du secteur et la deuxième au général. Tous les compétiteurs ont eu beaucoup de mal durant cette manche mais n'ont jamais baissé les bras et c'est bien là l'essentiel. La lutte fût indéterminée jusque dans les dernières minutes.

                             

                             

Avec ces deux très belles places nous finirons Champion Rhône-Alpes 2011. Nous sommes heureux et fiers d'avoir défendus les couleurs de Powercarp. Nous remercions Fabien et Adrien, les deux administrateurs principaux de leurs confiances et de leurs encouragements lors de ces qualifications.

 

                               

                               

Place maintenant aux Championnat de France et à l'Alsace. Espérons que le jeu en vaille la chandelle et que l'organisation et les plans d'eaux choisis soient à la hauteur de l'événement.

 

 

Thème: Enduros et compétitions | Département: Ain (01) Lien permanent | Voir les 6 commentaires
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Championnat de France 2010 - Epilogue

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Article de couzchain publié le 28 Avril 2011 à 17:22 dans le blog PASSION CARPISTE
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Je commence une pêche de bordure afin d'essayer d'intercepter quelques petites carpes au milieu du blanc, nous ne serons pas déçu car cette canne nous apportera son lot de surprise.

Nous avons devant nous un grand plateau qui s'étale jusqu'à une petite centaine de mètres, je place mes deux autres cannes en les espaçant régulièrement pour exploiter plusieurs distances. Le fond est assez mou, pour trouver du dur il faut se donner les moyens, environ 100 mètres avec du 170 grammes pour tenir, heureusement, dans un léger courant. Seul la dérive du Rhône fera décoller les plombs mais au bout d'assez de temps pour que le montage pêche suffisamment.

 

 

Notre stratégie habituelle en rivière prend place doucement, la canne de bordure commence déjà à donner les premiers signes de vie aquatique. Nous sauvons cette fois-ci le capot de suite grâce à une petite carpe de deux kilos prise en bordure, elle nous place au classement rivière.

Les premières 24h00 sont difficiles car le plateau qui s'étale loin devant nous n'est pas du tout productif et la canne de bordure n'apporte pas non plus les carpes désirées. La pêche se passe loin, juste à la sortie du plateau et sa cassure providentielle, il va falloir faire un effort sur l'amorçage et une bonne dose d'énergie pour placer nos montages là-bas. Heureusement que dans nos bagages nous avions emmené un jeu de cannes puissantes (encore merci à Séb), elles nous permettent d'atteindre les carpes. L'amorçage est un peu plus aisé car nous pratiquons déjà celui-ci depuis longtemps.

Après ce changement de cap, nous continuons tout de même à approvisionner le plateau en bouillettes et y laissons deux cannes. Nous entrons quelques poissons et nous remontons doucement au classement, il est cependant difficile de suivre la cadence proposée par certains postes devant nous. Nous allons sortir de l'eau une moyenne de 3 à 4 carpes par 24h00, d'une moyenne correcte. Elles sont maintenant accrocs aux bouillettes et reviennent sur le coup largement amorcé. Nous allons sortir une même carpe deux fois dans la journée, la première fois au petit matin et la seconde aux environs de 23h00, chose assez rare en rivière pour pouvoir le souligner.

La canne de bordure n'aura pêché que 3 jours sur 4 car plus aucune carpes de sortie les 24 dernières heures, nous la placerons à une dizaine de mètres derrière. Elle produira un départ à un quart d'heure de la fin de la compétition.

 

Il faut que je vous narre toutes les espèces de poissons que cette canne à sortie durant 72 heures : carassin, brème, carpe, carakoï (carassin orange), chevesne, muge (poisson de mer pouvant vivre dans l'eau douce), silure (1,50 mètres), barbeau, tanche, gardon, ... ; la diversité du Rhône à cet endroit est exceptionnelle.

Nous finissons avec un total de 12 poissons pour un peu moins de 100 kg, nous avons effectué une belle manche rivière car cette fois-ci nous finissons 7° sur 47 équipes.

Nous nous sommes fait plaisir et c'est bien là l'essentiel.

 

 

 

Avec ce résultat associer à ceux de nos collègues de Rhône-Alpes nous échouons au pied du podium, à seulement 0.33 points du troisième.

Avec pour classement final une 24° place, nous pouvons dire que ces Championnats n'ont pas été à la hauteur de nos espérances. La manche lac nous ayant complètement passée à côté.

C'est un peu rageant mais c'est bien là la dure loi de la pêche.

 

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De la riviere à l'étang du public au privé!

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Article de capone publié le 19 Octobre 2010 à 14:54 dans le blog une passion de famille
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Après avoir épuisé une bonne partie de mon énergie et de ma passion sur les rivières de différents gabaris.me voici partis à la conquête des étang en privé pour découvrir une autre facette de cette passion;

Un besoin d'adaptation de petit matériels et de comportement fut evidament néccéssaires!maiissss je dois bien avouer que le résultat en un an est criant sur la différence de difficultée et de pêche !en effet si je totalise ma meilleure année en rivière avec un solde de 650KG et cette premiere année en étang et lac privé avec un solde de 1442kg

Il n'y a pas photos si je puis dire !Ma grande note positive sur ce qui concerne ce monde c'est la sécuritée et la possibilitée d'être en famille ainsi que le combat que peux offrir de beaux esturgeons et amours;evidament je comprend maintenant le biseness qu'il est possible de fair face à tous les pêcheurs en quête de prises rapides suite à un manque de temps ou en recherche de spécimens hunter qui pour l'occasion est bien plus accessible au tou carpiste!
CE QUI EST SUR, c'est que je ne porterais pas plus de crédit à un pêcheur n'ayant pour référence que des prises de carpes d'étang quelque soit la taille du fisch!Que la pêche en zone naturelle est ce qui s'appelle de la pêche;mais avec un gros gros changement en ce qui concerne l'esturgeon de bon gabaris et l amour avec lesquel on trouve un réel travail et combat abscent de nos rivières!
En résumé il m'a fallut six ans pour obtenir un beau spécimen de rivière miroir 28KG850 et quelques mois pour des carpes de bonnes tailles18+ un esturgeon de 25KG et un béari de 34KG !cela parle tou seul!
Encore une fois les esturgeons et amours de bonne tailles sont les seul fisch à ne rien jalouser à nos poissons de rivière!
A bientôt au fil de l'eau!

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