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Articles de pêche de la carpe associés au tag eau

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Mes lieux de pêche préféré à Bordeaux

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Article de Remi33 publié le 15 Février 2019 à 20:30 dans le blog Mes lieux de pêche à Bordeaux
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Dans ce blog je vais essayer de vous donner tous les coins de Bordeaux ou je me rend pour pêcher tranquillement et me reposer. 

Les lacs et les étangs sont un excellent endroit pour commencer à pêcher. Vous pouvez pêcher dans les lacs et les étangs à partir d'un rivage ou d'un bateau. Vous pouvez pêcher en eau peu profonde ou profonde, en eau libre ou près d'une structure ou d'une couverture. Selon le lac ou l'étang que vous pêchez, vous pouvez attraper des espèces de poissons à grande et à petite bouche, le brochet, la perche, le poisson lune et la truite.

Lorsque vous arrivez à un étang pour la première fois, recherchez des endroits " poissonneux ", comme un arbre abattu, des nénuphars, des bordures de mauvaises herbes ou un quai. Qu'est-ce que tous ces endroits ont en commun ? Ils sont tous des structures, et structure égale poisson !

La structure fournit un abri, de l'ombre et un abri (protection) pour les poissons. La structure peut aussi attirer les poissons-appâts, et les poissons-appâts attirent les poissons gibier : les poissons que vous voulez attraper. La formule est simple : trouvez une structure et vous trouverez du poisson ! D'autres types de structures sont des objets submergés, comme des souches, des roches et des branches, des arbres et des broussailles en surplomb, des pointes, des anses et des bras de mer.

Poissons près de Structure !

La plupart des gens commencent à pêcher à partir du rivage ou d'une petite embarcation. Dans les deux cas, vous pêcherez probablement près du rivage. Par conséquent, nous nous concentrerons sur la structure sur ou près de la rive.

Les insectes et autres créatures aquatiques qui vivent sur et autour des nénuphars, d'autres plantes flottantes et des tapis flottants d'algues attirent toujours les poissons appâts, et les poissons appâts attirent toujours les poissons plus gros. D'énormes plaques de nénuphars peuvent aussi créer de l'ombre, ce qui attire aussi les poissons. Couler dans les bords et les ouvertures. Sinon, vous risquez d'emmêler votre équipement.

Les bancs de mauvaises herbes servent de nourriture et d'abri aux poissons appâts, qui attirent les poissons gibier. Recherchez les herbiers de mauvaises herbes qui mènent à de l'eau plus profonde, ou recherchez les herbiers de mauvaises herbes enfoncés dans de l'eau profonde et libre. Pêcher les bords du lit de mauvaises herbes. Les poissons aiment naviguer sur le bord à la recherche de nourriture.

Quand la plupart des pêcheurs à la ligne voient un arbre coulé, ils ont envie de pêcher à proximité ? Pourquoi ? Parce que c'est un endroit idéal pour pêcher ! Les branches et le tronc fournissent un abri et de nombreux insectes vivent sur le bois. Les insectes attirent les poissons-appâts et les poissons-appâts attirent les poissons gibier. Assez dit !

Les rochers, les branches et les souches sont d'autres objets submergés autour desquels on peut pêcher.


Thème: Environnement et nature Lien permanent | Ajouter un premier commentaire
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Canicule

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Article de MacoCapa publié le 17 Octobre 2015 à 13:34 dans le blog Canopée boat trip
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ωωω


Blog de Maco Capa, Philosophie Carpiste.

 

 

 

Canicule...
  
Quelles étranges au caractère véloce tournent hagards et chassent l’imprudent qui s’égard sur leurs lits de noces
Beautés, foisonnantes, aux milles teintes accablées d’un appétit méchant. Le trouble est semé dans les eaux atteintes !
L’arc en ciel n’est pas la lumière dans l’ondée, elle est l’onde effrayante de l’éclair qui s’abat sur la rivière.
Petits soleils, vous êtes bien mal engagés; Poissons aux moeurs amusantes malheur dans toutes les eaux irradiées !
 
 

 

 

Thème: Thème non défini Lien permanent | Ajouter un premier commentaire
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Carpe d'hiver

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Article de TomSuncarpe26 publié le 5 Février 2013 à 14:12 dans le blog Session 2009 à 2013
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Nous sommes le vendredi 1er février 2013.

Depuis deux semaines, je prévois une petite session de 48h sur le Rhône, avec mon pote Hugues. Malheureusement, la nature nous joue des tours. Cela fait plusieurs jours qu’il pleut dans le nord, faisant gonfler la Saône, continuant son petit bout de chemin par le Rhône.

Ce vendredi matin, je jette un dernier coup d’œil sur le site de la CNR (Compagnie Nationale du Rhône), pour suivre l’évolution du niveau des eaux. J’ai le moral dans les chaussettes, le débit a encore pris 400m3 dans la nuit, les barrages hydroélectriques ont ouvert leurs vannes.

 

Il ne reste plus qu’à trouver un nouveau point de chute, sur un plan d’eau de la région.

 

Je passe un coup de téléphone à Hugues, pour déterminer notre nouvelle destination.

Nous nous entendons sur un petit plan d’eau de quelques hectares, non loin de chez nous.

 

Les conditions climatiques ne vont pas être faciles à vivre. Le vent du nord est annoncé à plus de 100km/h, faisant chuter les températures de plus de 5°C.

 

Hugues arrive sur place en milieu d’après-midi, puis je le rejoins vers 17h30.

Nous nous installons sur le côté sud du plan d’eau, derrière une grosse digue qui nous protégera des futures rafales de vent.

Il ne fait vraiment pas très froid pour un début de mois de février. Le thermomètre de mon échosondeur affiche 10°C, puis je suis surpris de voir que l’eau du lac est à la même température. Le poisson devrait être plus ou moins encore actif.

En cette soirée, il faut dire que le vent du sud réchauffe l’atmosphère.

 

Hugues a positionné sa batterie de cannes sur le côté droit. Il s’apprête à lancer ses quatre lignes à la bouillette, munies d’un filet soluble en tête chercheuse.

Il n’y a pas d’eau sur les quarante premiers mètres, puis une cassure en pente douce plonge sous 2m de fond, jusqu’à la berge d’en face.

La technique est de pêcher entre 40 et 80m du bord, pour stopper les poissons navigants dans ce petit chenal.

 

Je procède de la même manière en bloquant cette passe à poissons.

A l’aide de ma barque, je dépose une ligne à 40m, en bas de la première cassure, une seconde dans le milieu du chenal, puis les deux autres sous les arbres surplombants la berge d’en face. De mon côté, les fonds n’excèdent pas les 1.60m et sont très vaseux.

 

PostePoste 

J’opte pour quatre montages eschés en bonhomme de neige, munis d’une chaussette soluble de bouillettes et de pellets en 7mm. Le tout est arrosé avec parcimonie d’une petite poignée de ce mélange. Je dépose les quatre montages avec délicatesse, afin de ne pas trop envaser les bas de lignes. Les esches sont toutes équilibrées, mais mieux vaut être assidu pour cette manipulation.

Pour une meilleure présentation et éviter le passage des ragondins dans les lignes, je coule les bannières à l’aide de mes back-leads.

 

Montage 

C’est vers 20h que mon détecteur de droite nous fait sursauter. La Led verte clignote, m’indiquant une touche retour. Je prends contact et ramène très vite ma première brème de l’année.

Je la relâche et retends aussitôt la ligne dans le milieu du chenal.

 

Après une bonne semaine de travail, vers 23h, nous regagnons respectivement nos duvets.

 

Dans le milieu de la nuit, j’entends l’un des détecteurs de mon très cher voisin. A son tour, il extirpe une brème de l’eau.

 

Le reste de la nuit est très calme.

 

Nous sommes réveillés au petit matin, par Denis avec les croissants à la main.

Il souhaitait pêcher le Rhône avec Guillaume et Xavier. Ils sont contraints de faire comme nous, se lancer à la recherche d’un plan d’eau.

Malheureusement, tout est plein aux alentours. Nous leur proposons de se joindre à nous.

 

Il est près de midi, Denis déballe tout un assortiment de charcuterie avec un bon pain de campagne, arrosé d’un petit vin blanc. Rien de mieux pour motiver les troupes.

 

Xavier s’installe au nord du plan d’eau, puis Denis et Guillaume, côté sud en ne mettant que deux cannes chacun.

 

Depuis 7h du matin, le vent du nord redouble d’intensité, en faisant chuter les températures.

Je crains que cela ne soit pas très bon pour l’appétit de nos dames carpes.

 

Denis était chargé de me livrer des noix tigrées et du chènevis, achetés à bas prix près de chez lui.

Ni une, ni deux, je fais cuire une petite casserole de noix tigrées pour la dernière nuit.

 

Je retends toutes mes lignes vers 12h, en eschant deux montages à la graine.

MontageNoix tigrées

 

L’après-midi se déroule tranquillement, sans la moindre touche.

 

Vers 19h, Xavier engage un sprint vers ses cannes, la centrale de touche siffle à plusieurs reprises.

Il sort une petite miroir de 5kg.

 

A peine une heure plus tard, c’est ma deuxième canne de droite qui démarre. Je sors à mon tour une miroir de 5kg, trompée par mon bonhomme de neige.

Malheureusement, avec l’intensité du vent, je ne prends pas le risque de reposer la ligne.

Les rafales sont très violentes, heureusement que la digue nous protège.

 

Vers 23h, Xavier met une nouvelle petite miroir sur le tapis de réception.

 

Nous nous couchons à la suite de cette action.

 

Vers 3h du matin, je perçois un sifflement de détecteur, à travers le bruit infernal du vent dans les arbres.

Je sors du duvet et me jette sur la canne de droite qui déroule à grande vitesse.

La noix tigrée va peut-être payer !

 

Lors du ferrage, je comprends que je n’ai pas affaire à un petit poisson. La bobine fait encore plusieurs tours avant de pouvoir reprendre du fil à ce bolide aquatique. Le plus compliqué est de faire passer le poisson au-dessus de la cassure présente à 40m.

Le combat est encore plus intense près de l’épuisette, dans moins de 40cm d’eau. Le poisson doit être de belle taille, car il a du mal à se tenir droit. Les rushs sont suivis de gros éclaboussements à la surface de l’eau.

Après quelques derniers coups de tête, je parviens à hisser le spécimen dans les filets.

 

C’est une très belle miroir d’hiver que je dépose dans mon tapis de réception. J’accroche le crochet de mon peson au sac de peser et tends les bras au ciel, telle une révérence. Les digits se figent sur 16.5kg.

 

J’avais fini l’année avec une commune de 19.1kg et suis vraiment heureux de recommencer l’année avec une nouvelle belle prise.

 

Je glisse ce poisson au sac de conservation pour pouvoir l’immortaliser avec mes potes.

 

Je passe le reste de la nuit à chercher le sommeil. Je suis partagé entre l’excitation de cette prise et l’énervement du bruit incessant de ce maudit vent.

 

Au petit matin, je retrouve mes collègues pour connaître les différentes informations de la nuit. Xavier a refait une petite miroir, portant sa pêche à 3 poissons et Hugues a sorti une nouvelle brème, puis un éventuel sac plastique.

Hugues

 

La nuit n’a pas été fructueuse pour Guillaume et Denis, qui n’enregistrent aucune touche.

 

Vers 10h, nous profitons du soleil pour sortir et photographier le trésor de ma nuit. Nous sommes ébahis devant les couleurs de cette carpe. Elle est d’une dorure magistrale, tels les feuillages d’automne. Il n’y a vraiment que l’hiver qui apporte cette magie.

16.5kg16.5kg

16.5kg

 

Je plie bagage vers 12h, pour me remémorer cette belle session au coin du feu.

Thème: Sessions de pêche | Département: Drôme (26) Lien permanent | Voir le commentaire
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Pêche aux pellets

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Article de TomSuncarpe26 publié le 21 Décembre 2012 à 17:00 dans le blog Session 2009 à 2013
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Je vous présente ce nouvel article sur l’utilisation du pellet, afin de séduire nos dames carpes.

Cet appât est utilisé depuis plusieurs années, par un grand nombre de pêcheur à la carpe ou autres spécialités (au coup, pour le silure etc …).

 Je vais faire de mon mieux pour vous présenter mes différentes techniques d’utilisations en plan d’eau et en rivière.

J’ai aujourd’hui cinq à six ans d’expérience dans ce domaine, qui m’a apporté un gros succès depuis que cet appât fait partie de mes bagages, sur une grande majorité de mes sessions de pêche.

 Cette pêche nécessite une grande technique et une bonne connaissance de la dissolution de ces appâts.

 

En plan d’eau :

 

Avant de démarrer une pêche au pellet sur un plan d’eau, il faut impérativement s’assurer que l’on ne trouve pas la présence des poissons chats. Sinon, cet appât est à bannir de votre session, ces bêtes en sont friandes et vous pêcherez vite à la goutte d’eau.

Si aucune présence de cette vermine n’est à déclarer, alors l’arme ultime peut être dégainée.

 J’utilise principalement trois diamètres de pellet : en 7, 15 et 25mm. J’arrive à affronter toutes les circonstances avec ce panel.

 Pellets de 7, 15mm extrudés et 25mm de pêchePellets de 15,25mm extrudés et 25mm de pêche

 

Pêche de bordure :

 

La meilleure exploitation du pellet se fait sur une ligne tendue en bordure, atteignable à la pelle amorçoir ou à la fronde.

J’esche généralement sur le cheveu de cette ligne, un ou deux pellets de bonnes qualités (SCP) en 15mm. La dissolution est fonction de la température de l’eau, plus elle est haute, plus le pellet fond vite (environ 2h en été et 5h en hiver). Pour exploiter au mieux cette dissolution, il faut faire le test sur les premières heures de pêche, afin de déterminer le meilleur temps imparti pour tenir le pellet sur le cheveu.

C’est pour cela que la pêche de bordure est la plus appropriée, car il faut relancer régulièrement la ligne.

En règne général, cela ne pose pas trop de problèmes la journée, mais la nuit c’est une autre paire de manches.

Il y a deux configurations possibles :

-         Soit vous êtes en mode concours ou rendement maximum, donc remonté comme une pendule avec le réveil qui sonne toute la nuit, afin de repositionner la ligne et réamorcer

 

 

Eschage au pellet de 15mm

 

-         Soit en mode pépère entre potes pour dormir la nuit. Dans cette option, j’esche un pellet de 25mm pour garder la ligne en action de pêche toute la nuit, avec le moindre effort.

 

 

Eschage au pellet de 25mm de pêche

 

 

En ce qui concerne l’amorçage autour de cette ligne en bordure, je peux comparer cette technique avec la méthode de pêche au coup. Il faut impérativement garder de l’action sur le fond.

L’amorçage lourd ne sert pas à grand-chose, sachant qu’il n’y aura plus rien au bout de quelques heures. La méthode consiste à amorcer avec du pellet de 7 et 15mm toutes les 2h. Quelques poignés suffisent à rendre le fond de l’eau très attractif en continu.

Le fait de varier le diamètre en 7 et 15mm permet d’obtenir deux dissolutions différentes. Cela génère une continuité olfactive sous la surface de l’eau autour de l’appât piégé.

 Si vous voulez être tranquille la nuit, il faut rajouter du 25mm à l’amorçage.

C’est pour cette raison que je me permets de comparer cette technique à celle utilisé au coup, car la poignée de petit pellet remplace la petite boule de farine.

 

Cela nécessite d’être toujours en action et attentif au temps qui passe. Le réveil est de rigueur !

 

A portée de canne :

 

En ce qui concerne l’eschage du cheveu, je procède de la même manière que la pêche en bordure.

Ce qui diffère est l’amorçage à longue distance, surtout quand on est à fond de canne à plus de 100m, voir 130m et plus.

Le premier moyen d’expulser des petits appâts à longue distance est l’utilisation du bait-rocket ou du Spomb.

Vous pouvez donc faire des petits rappels toutes les 2h, comme avec la pelle ou la fronde en bordure.

 

Remplissage du Spomb Lancer du Spomb

Le second moyen est d’utiliser une canne à bait-rocket muni d’un godet, pour envoyer des boules de pellet sur orbite. Avant de confectionner les boules, il faut préalablement faire fondre du pellet de 4 ou 7mm dans un seau d’eau. Au bout d’environ 30 minutes, cette mixture devient collante, permettant de lier les pellets ensemble. Pour gagner de la solidité avant l’expulsion des boules, il faut les faire sécher au soleil pendant un petit quart d’heure.

 Après cette préparation, vous pouvez procéder à l’opération d’amorçage.

 Dans la première solution, c’est le fait de devoir ramener le bait-rocket ou le Spomb qui est contraignant, mais dans la seconde, cela demande du temps de préparation.

A vous de choisir en fonction de vos moyens !

 

 Hors portée de canne :

 Pour cette option, je vous souhaite bon courage. C’est avec la barque qui faut retendre la ligne régulièrement et de plus, faire des rappels d’amorçage.

Quand j’exploite cette méthode, j’esche ma ligne au pellet de 25mm et amorce aux 15 et 25mm. Cela me permet de gagner du temps entre le réamorçage et la retente des lignes.

En général, je rajoute une petite cerise sur le gâteau au bout de la ligne. J’accroche une chaussette soluble garnie de pellet en 7mm, pour gagner de la réactivité autour de l’appât.

 Dépose en barqueChaussette soluble de pellets en 7mm

Depuis peu, j’ai trouvé une petite ruse pour l’été.

Avec la température de l’eau très élevée, le pellet fond plus rapidement. Avant de retendre les lignes pour la nuit, je recouvre mon pellet de 25mm avec de la pâte d’enrobage. Cela retarde considérablement la dissolution complète du pellet, sans empêcher une grande diffusion.

 

 En rivière :

 Je ne vais pas vous apprendre grand-chose de plus que la pêche en plan d’eau.

Le seul point important qui faut prendre en compte, est le courant.

 En règle générale, je n’utilise pas le pellet en 7mm, qui est beaucoup trop léger. Le courant l’emporterait beaucoup trop loin du spot de pêche attendu.

 Il faut utiliser le courant à bon escient, il n’a pas que des inconvénients.

Je profite de cette force de la nature pour amorcer au pellet de 15 et 25mm, toujours en amont du coup de pêche.

Le pellet va se déposer sur les premiers montages, que j’esche très souvent au pellet de 25mm. Les lignes positionnées sur le bas de l’amorçage vont bénéficier des particules de pellet en cours de dissolution, transportées dans le courant.

Je profite de cette zone de pêche pour l’exploiter à la bouillette. Les plus gros poissons tournent régulièrement autour de l’amorçage au pellet.

 

Commune piégée par un pellet de 25mm Miroir piquée sur un lit de pellets

 

En rivière, j’ai tendance à beaucoup plus amorcer qu’en plan d’eau. Je prends en compte le courant qui émiette plus rapidement les pellets et les poissons blancs (brème, chevesne, barbeaux …) qui sont friands de ces appâts.

Sans oublier notre ennemi principal, le gros moustachu qui se prénomme « silure ».

Il est toujours très compliqué de gérer la bonne dose d’amorçage sans attirer les silures. Une fois qu’ils sont présents sur le coup au pellet, il est difficile de les déloger.

En général, je stoppe l’amorçage quelques heures, pour le reprendre bien plus tard.

 

Autres usages :

 Le pellet peut être utilisé pour de multiples applications.

Je m’en sers très souvent pour garnir mes chaussettes solubles quand je pêche à la bouillette. C’est un très bon complément attractif autour de l’appât.

 J’ai déjà eu l’occasion de le réduire en poudre pour composer mon mix à bouillette. L’apport en protéines est phénoménal, surtout à l’approche de l’hiver.

 

En ce qui concerne la qualité des pellets, j’ai deux catégories.

Le pellet d’amorçage à bas prix, l’extrudé que l’on trouve chez beaucoup de marchands de pêche, provenant très souvent de chez le fabricant breton « Le Gouessant ».

Puis le pellet de pêche, que je trouve chez SCP (Saone Carp Production), confectionné par Patrick SALIERNO. Les pellets ont une forte tenue au cheveu et une diffusion impressionnante. (http://www.saonecarproduction.com/)

 Je ne vais pas plus m’épiloguer sur ce sujet, à chacun de trouver sa méthode gagnante.

J’espère avoir donné des idées à quelques carpistes, à la suite de cette lecture.

 

Bonne pêche à tous !

 

 

 

Thème: Stratégie et tactique de pêche | Département: Drôme (26) Lien permanent | Voir les 3 commentaires
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